Los Dogons

Les Dogons sont une ethnie d’Afrique de l’Ouest, qui s’est installée le long de la falaise de Bandiagara au Mali, pour fuir l’islamisation du Sénégal. Aujourd’hui, les Dogons vivent toujours dans de petits villages, leur tradition de transmet oralement des anciens aux plus jeunes, et ils vivent de la culture du maïs, de l’oignon, et surtout du mil, la base de leur alimentation dont ils font de la farine, de la semoule, et même de la bière. Peuple à forte cosmogonie, ils ne se sont ni dispersés, ni modernisés, et c’est pour cela que nombre de touristes se rendent chaque année en pays Dogon, pour y faire des treks de quelques jours, et appréhender leur culture. Afin d’accueillir ces flux, sans pour autant perdre leur identité, les villageois ont créé des campements communautaires, qui reçoivent les randonneurs pour la halte de midi ou du soir, et dont les bénéfices servent à la préservation et au développement du village. Chaque marcheur paye de surcroît un droit d’entrée modique aux anciens du village, qui sert de fond de secours en cas de problème. Les habitants se relaient pour tenir le campement, souvent quelques chambres très simples et un lieu commun, et reçoivent une rétribution pour cela. Dans le village de Tiréli, les habitants recensent annuellement leurs besoins, qui sont priorisés et auxquels on répond au fur et à mesure des rentrées d’argent. Des crédits sont accordés aux femmes pour acheter un animal reproducteur pour leur troupeau en début de saison, qu’elles revendent en fin d’année pour rembourser leur emprunt ; d’autres bénéficient d’une banque de céréales, pour recevoir les semences nécessaires lorsque arrive la pluie ; ou d’un prêt pour commencer un petit commerce. Le tourisme est ainsi perçu comme une source de revenus, mais pour laquelle il n’est pas besoin de se corrompre. Peuple fier, rares sont ceux qui demandent de l’argent ou des présents, les enfants qui s’y risquent sont vite réprimandés par leurs parents. Seuls les anciens reçoivent des randonneurs des noix de colas, que l’on offre traditionnellement pour demander l’hospitalité et s’assurer d’être bien reçu…

Los Dogon son un grupo étnico dAfrique oeste, que Sest mueve a lo largo de los acantilados de Bandiagara en Malí para escapar lislamisation de Senegal. Hoy los Dogon todavía viven en pequeñas aldeas, su tradición de forma oral transmitida de edad para jóvenes, y ellos viven en la cultura granja, cebolla, especialmente el mijo, el alimento básico de su dieta son harina , sémola, e incluso la cerveza. Gente fuerte cosmogonía, no son para Disperss ni moderniss, y es por eso que muchos turistas visitan cada año en el país de Dogon, para hacer caminatas de varios días, y la cultura apprhender. Daccueillir a estos flujos, sin perder su identidad, los aldeanos han creado campamentos de la comunidad, que reoivent excursionistas para la parada del mediodía o por la noche, y cuya bnfices servir a la preservación y desarrollo de la aldea. Cada caminante surcrot pagar una pequeña dentre derecho de los ancianos de la aldea, que sirve fondo de ayuda en caso de problema. Las personas se turnan para mantener el campamento, a menudo muy pocas habitaciones individuales y un lugar común y una rtribution reoivent por ello. En el pueblo de Tirli, residentes identifican anualmente sus necesidades, que son prioriss y que uno responde como y volver a casa la plata. Los créditos son acuerdos para comprar mujeres para su temporada de cría del rebaño de animales principio, lo que el danne final venden para pagar sus préstamos; ADEMÁS bnficient banco cereales dunas para recibir las semillas ncessaires ocurre cuando la lluvia; o dun listo para iniciar un pequeño negocio. Turismo es percibida como una fuente de ingresos, pero para los que no se tienen que sobornar. Orgulloso, pocas personas son los que piden dinero o prsents, los niños pueden rprimands rápidamente sy por sus padres. Sólo los antiguos caminantes reoivent colas tuercas que ofrecen tradicionalmente lon pidiendo lhospitalit y asegúrese bien reu DTRE

Les Dogons ont été "découverts" par Marcel Griaule qui a mis par écrit les particularités de leur civilisation. Historiquement, cette ethnie est venue, fuyant l'islamisation, s'installer dans la falaise de Bandagiara en en chassant les habitants d'alors, les Thélèmes. Ce qui est curieux, c'est qu'actuellement des mosquées se sont implantées en pays dogon. Les particularismes demeurent néanmoins vivaces et les habitants n'aiment pas trop que les étrangers viennent se mêler de leurs coutumes comme celle d'isoler du village les femmes menstruées. La "manne" touristique est bienvenue et il n'est pas rare d'entendre un groupe d'enfants former une chorale, notamment à l'entrée du tunnel qui communique directement du plateau au coeur de la falaise. De même, les masques dogons se produisent pour maintenir le "folklore" de cette coutume bien spécifique. J'ai surtout apprécié les bâtiments traditionnels : habitations et greniers coiffés de chaume (greniers masculins) ou arrondis en banco (greniers féminins).

El Dogon tiene t "dcouverts" por Marcel Griaule que ponen por escrito las peculiaridades de su civilización. Históricamente esta tribu vino, huyendo islamización, estableciéndose en el acantilado Bandagiara en la persecución de las personas de ese tiempo, los Thlmes. Lo curioso es que en la actualidad las mezquitas fueron implantados en el país Dogon. Sin embargo particularismo permanecen vivos y la gente no le gusta los extranjeros vienen a sus costumbres LEFM gustaría aislar a las mujeres del pueblo de menstruación. El turista "golpe de suerte" es bienvenido y no es raro escuchar a un grupo de niños forman un coro, sobre todo entre el túnel que comunica directamente meseta en el corazón del acantilado. Del mismo modo, las máscaras Dogon ocurren para mantener el "folclore" de esta costumbre bien spcifique. En especial me apprci edificios tradicionales: casas y graneros coiffs paja (áticos masculinas) o barro redondeado (fminins áticos).