Grégoire Sieuw
En la parte superior del Petit Luberon
Au sommet du Petit Lubéron
Située à deux pas de la tour Philippe, la Forêt des Cèdres de Bonnieux (mais qui s'étend sur le territoire de Lacoste et Ménerbes également) est un autre endroit atypique. Les cèdres qui la composent ont été plantés il y a maintenant 150 ans, directement importés des montagnes de l'Atlas, au Maroc. Dans une région aussi sèche que le Nord-Lubéron, l'ombre y est bienvenue lors des chaleurs estivales et de nombreux sentiers de randonnée, bien balisés, permettent d'en faire le tour.
On y accède depuis Bonnieux par la route de Lourmarin, suivre le panneau sur la droite peu après le Domaine de Capelongue. Du parking, qui marque à 713 mètres d'altitude le sommet du Petit Lubéron, des sentiers gravitent pour rejoindre le panorama magnifique des Portalas au sud (40 minutes), vers Bonnieux à l'est (quitter la route sur la gauche après un kilomètre, une heure) ou encore vers Lacoste au nord ou sur l'arête du Petit Lubéron à l'ouest. Un havre de fraîcheur, qui tourne régulièrement au gel durant l'hiver où le mistral souffle à souhait.
A pocos pasos de la Philippe convierten el bosque de cedros de Bonnieux (pero que se extiende sobre el territorio de Lacoste y ménerbes también) es otro lugar inusual. Los cedros que lo componen se han plantado en la actualidad hay 150 años, directamente importados de las montañas del Atlas, Marruecos. En una región tan seca que el norte de Luberon, la sombra es bienvenido allí durante el calor del verano y muchas rutas de senderismo, bien marcada, que se utiliza para hacer el giro. Se accede por carretera desde Bonnieux Lourmarin, siga la señal a la derecha poco después de la Domaine de Capelongue. Desde el aparcamiento, que marca 713 metros de la cumbre del Petit Luberon, senderos gravitan a unirse a la bella panorámica de Portalas sur (40 minutos), a Bonnieux este (lado de la carretera a la izquierda después de un kilómetro una hora) o para Lacoste norte o en el borde del Petit Luberon, al oeste. Un remanso de frescura, que se convierte periódicamente en un gel durante el invierno cuando sopla el mistral a voluntad.


